1860 et 1906
Granit
Vers 1860, l’abbé Liard, vicaire de la paroisse, entreprend d’édifier ce monument afin de permettre aux fermiers de réparer leurs fautes en se signant au passage. En effet, selon lui, ces derniers,en « touchant » leurs boeufs de l’aiguillon pour les faire avancer, égrènent plus volontiers les chapelets de jurons que ceux adressés à la Vierge.
Huit colonnettes, au chef crénelé, et reliées par une rambarde, entourent la croix, derrière laquelle un arceau abrite une statue de la Vierge des Douleurs.
La restauration de l’édifice, délabré, est décidée dans la nuit du 27 au 28 avril 1906, alors que les Saint-Laurentais assurent leur tour de garde à l’intérieur de l’église, barricadée, afin d’empêcher la réalisation des inventaires. La nouvelle bénédiction du calvaire a donné lieu à un grand rassemblement.
1860 et 1906
Granit
Vers 1860, l’abbé Liard, vicaire de la paroisse, entreprend d’édifier ce monument afin de permettre aux fermiers de réparer leurs fautes en se signant au passage. En effet, selon lui, ces derniers,en « touchant » leurs boeufs de l’aiguillon pour les faire avancer, égrènent plus volontiers les chapelets de jurons que ceux adressés à la Vierge.
Huit colonnettes, au chef crénelé, et reliées par une rambarde, entourent la croix, derrière laquelle un arceau abrite une statue de la Vierge des Douleurs.
La restauration de l’édifice, délabré, est décidée dans la nuit du 27 au 28 avril 1906, alors que les Saint-Laurentais assurent leur tour de garde à l’intérieur de l’église, barricadée, afin d’empêcher la réalisation des inventaires. La nouvelle bénédiction du calvaire a donné lieu à un grand rassemblement.
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